Challenge : « Mots à Maux de Bouche à Oreilles » - ROUND 1
le 1er novembre 2020

Mots à maux, de bouche à oreilles est un challenge,
On passe le temps et s’enrichit, merci d’avance, de votre participation
De vous à moi,… je tue l’ennuie, mets en silence les abois
Je dois lier les mots au son avec un sens pratique,
que pour l’auditeur rien ne soit confu, pas comme un bourrasse à la St Patrick,

Pendant ce temps mort, vous remettez en place,
de l’ordre, spirituel ecclésiastique
En eaux troubles des valeurs triptyques de la patrie,

Réduits en liberté , entassés, élevés comme des poules en batterie, le mental en pâtit
Même de loin l’humanisme prospère, unanime solidaire et empathie
Bouleverse les maux, ensemble par la pensée télépathique, synergie, suis-je assez audible ?

Marquons l’histoire colossale, inscrivons l’instant de ces moments historiques, qui sont honorables
monumentaux, semblables à une Mégalithe,
À l’air d’Unicode, 4K, HD, 5G, la fibre, binaire et Megabytes
Je suis d’une autre ère, la mienne a son éthique,
Je me sers des néologismes, loin des cercles politiques,
Je suis un disparu d’un cercle poétique
Pas si vieux que tu le penses, cernes Néolithiques
J’espère le plus lointains d’un face à face, face aux légistes

Nous sommes passés des lauriers de César, au fondateur, fin penseur Aimé Césaire
Conjure le futur, n’oublie pas le passé en DeLorean,
Construit l’avenir et les souvenirs, même si les doléances et doutes planent
Même chez les No-Life
Je réfléchis agite la foule mais je ne suis que Solem
Je ne suis pas Hype, comme Christopher Nolann
Échaudé, réchauffé par le bonnet d’âne, juste pour choquer, sans charcler
Résulte fous rire des hommes et « bonheur des dames »,

D’humeur spleenétique, mes Moov’ sont cinétiques
Je traîne spleen et splif, une vieille haleine putride, je déglutie,
Je me questionne et raisonne d’une manière argutie
Armé de ma naturelle folie, équilibré par ma douce utopie,
Fougue et furie de l’Agartha dans l’hypophyse

J’amène l’art subtil, textes à tiroirs, subtilise, capture mes névrotiques anonymes
Mon art laisse des traces comme la chevrotine,
Je casse les cases, les codes, et les règles régies
par ton registre, je casse la routine
Je reste cosmopolite, multicolore, en roue libre,
Éclectique dans ma démarche, reste large, multi-syllabiques


Repartir de zéro et de loin sans mirages, loin des brouilles, des broutilles et bruits de la ferraille,
par intermittence, ma pénitence, saoûler par mon Hermitage, noyer de ma pénible existence
à ses yeux je reste (sa beauté) saboté …comme un maréchal Ferrand

Même avec une cotte de fer, le plus féru des furieux brisera ton orgueil
Le coeur en or pur, orpaillage de culture, avant l’ère du cercueil
Vivre au mieux sans cale en bois, rire des calembours,
Éloigné des fourbes et calé en bourse

Ton odorat brisé sur l’odeur d’une tartiflette, on est parti se fendre, et part si fiers
que c’est un art d’Biflé, briller de placer des mots zarbi, flex
L’automne et l’hiver frappent, t’as la reniflette ! Enfumée, narguilé
Un temps où sortent les ressentiments, déprimes et lames Gilette,
Je Death-Note dénote en bloc, Art Pixel.