Challenge : « Mots à Maux de Bouche à Oreilles » - ROUND 1 le 1er novembre 2020 Mots à maux, de bouche à oreilles est un challenge, On passe le temps et s’enrichit, merci d’avance, de votre participation De vous à moi,… je tue l’ennuie, mets en silence les abois Je dois lier les mots au son avec un sens pratique, que pour l’auditeur rien ne soit confu, pas comme un bourrasse à la St Patrick, Pendant ce temps mort, vous remettez en place, de l’ordre, spirituel ecclésiastique En eaux troubles des valeurs triptyques de la patrie, Réduits en liberté , entassés, élevés comme des poules en batterie, le mental en pâtit Même de loin l’humanisme prospère, unanime solidaire et empathie Bouleverse les maux, ensemble par la pensée télépathique, synergie, suis-je assez audible ? Marquons l’histoire colossale, inscrivons l’instant de ces moments historiques, qui sont honorables monumentaux, semblables à une Mégalithe, À l’air d’Unicode, 4K, HD, 5G, la fibre, binaire et Megabytes Je suis d’une autre ère, la mienne a son éthique, Je me sers des néologismes, loin des cercles politiques, Je suis un disparu d’un cercle poétique Pas si vieux que tu le penses, cernes Néolithiques J’espère le plus lointains d’un face à face, face aux légistes Nous sommes passés des lauriers de César, au fondateur, fin penseur Aimé Césaire Conjure le futur, n’oublie pas le passé en DeLorean, Construit l’avenir et les souvenirs, même si les doléances et doutes planent Même chez les No-Life Je réfléchis agite la foule mais je ne suis que Solem Je ne suis pas Hype, comme Christopher Nolann Échaudé, réchauffé par le bonnet d’âne, juste pour choquer, sans charcler Résulte fous rire des hommes et « bonheur des dames », D’humeur spleenétique, mes Moov’ sont cinétiques Je traîne spleen et splif, une vieille haleine putride, je déglutie, Je me questionne et raisonne d’une manière argutie Armé de ma naturelle folie, équilibré par ma douce utopie, Fougue et furie de l’Agartha dans l’hypophyse J’amène l’art subtil, textes à tiroirs, subtilise, capture mes névrotiques anonymes Mon art laisse des traces comme la chevrotine, Je casse les cases, les codes, et les règles régies par ton registre, je casse la routine Je reste cosmopolite, multicolore, en roue libre, Éclectique dans ma démarche, reste large, multi-syllabiques Repartir de zéro et de loin sans mirages, loin des brouilles, des broutilles et bruits de la ferraille, par intermittence, ma pénitence, saoûler par mon Hermitage, noyer de ma pénible existence à ses yeux je reste (sa beauté) saboté …comme un maréchal Ferrand Même avec une cotte de fer, le plus féru des furieux brisera ton orgueil Le coeur en or pur, orpaillage de culture, avant l’ère du cercueil Vivre au mieux sans cale en bois, rire des calembours, Éloigné des fourbes et calé en bourse Ton odorat brisé sur l’odeur d’une tartiflette, on est parti se fendre, et part si fiers que c’est un art d’Biflé, briller de placer des mots zarbi, flex L’automne et l’hiver frappent, t’as la reniflette ! Enfumée, narguilé Un temps où sortent les ressentiments, déprimes et lames Gilette, Je Death-Note dénote en bloc, Art Pixel.

Traversée d’un dimanche en solitaire, mais ensemble avec mes semblables, sans faire de faux semblant tissage de liens à distance, qui de nos jours s’est fait la tangente, comme un braqueur de diligence Un sentiment de compersion incompressible semble être dans la tendance  mes métaphores sont méta morphes  D’Alpha Bêta dépendante sans Méthadone Cancritude au fond de classe collé au chauffage insolence et hargne d’un doberman  ce temps a été constructif et à la fois chronophage  Ma réussite est inégale, complexe et innefable  la roue tourne comme une toupie sans ristourne et onomatopées  avec honneur et sans topettes Mystère, suspense et vocabulaire  Échange de fausses notes au karaoké, double croche et solfège  Je n’suis pas neutre comme la Suisse  je suis la listel d’une pièce de monnaie  pas de double face  la liste est longue comme la filmographie de Liz Taylor  ne n’faisons pas les minorés  sans cornes de Minotaure  One Shot j’performe au micro j’tords les mots  ou ma mine s’arrête J’appelle à la paix comme du haut d’un minaret  de l’aube au crépusculaire  Instaure un pourparler sans pourfendre, mes valeurs un débat ouvert rassembleur n’est pas une mince affaire  La théorie d’hygiénisme politique et d’urbanisme  est d’une mathématique non reconnue par l’algébrique et les dyscalculiques sans faire de Nihilisme allié au sociable et sans faire de jeunisme Qui le veut s’associe à l’idée le reste est à faire  Les plaignants n’ont qu’à aider  Les problèmes se recousent de fil en aiguille les solutions concaténés s’enfilent, sans filet  Vincent, Catherine, Loïc, Dadou, Jeanne, Boogie- Boogiegnon, Corinne, Antho, Dj 5Hop, Stéphanie Marianne, Sabrina merci...

Solem né en terre de France, pas en terre d’Italie Mes écrits en gras et italique, gravés dans la roche comme un Néandertalien Je préfère l’ère actuelle que celui des ariens Dans les livres d’histoire, néant sur les terres d’Afrique Ici même traités comme des bons à rien, Des pompes à fric, je distribue des bons à rires La conspiration aspire la peur, par le brouillard d’infos Met en porte à faux les habiles acteurs de l’intox Je scrute analyse les faussaires qui désinforment Refais le monde derrière un écran désinvolte Pare-feu bouclier, gladiateur, Bit-Defender Les réseaux insociables grappillent nos ardeurs Met has been la sueur, couler de nos fronts Dépoussière un coup d’aspirateur, les réactionnaires délateurs Je te l’ai déjà dit dans mon titre La Confinerie « On est confinés, consignés, si peu considérés, que ça vocifère » Tous résignés, indignés, sans résine bières, je signifie l’alerte Malgré le temps qui passe, leur soumission, on arrive pas à s’y faire J’en place une, pour Christobald Martinez Charles, Isaya et Joseph, clin d’œil subliminal, oui j’ose faire ! Saisis l’inspi plus vite que Marie-Jo Perrec Street Fighter perfect ! Blues Brothers en perfecto Sans imitations : Sélecto Les seules limites, sont celles de mon cerveau Éclectique est mon équipe, symétrique équilibre, avec une éthique sans fléchir, MMBO tous les dimanches, de mots fléchés proposés en exercice de style Syntaxe fragilistique, les maux transformés avec esthétisme, Sans esthètes, épithètes, raisonne l’esprit, sans prise de tête, pour faire le tour de ta périphérie Décrypte mes phases comme des hiéroglyphes, par ondes paraboliques Merci Catherine, Miki, Lucille, Mederine, Dj Arena x 2

Merci pour vos retours positifs, ça passe dans la presse pour des Brokignoleries Je vous écris de ma geôle dorée, créativité, humour et cajoleries Un vent de lucidité pour décrocher, quelques sourires... en toute humilité Mon art premier est le Pe-Ra depuis tout gosse. On s’écroule et remonte la pente est ainsi faite la vie, si tu savais… On rebondit, se relève les manches, dit-moi le contraire, on franchit L’espoir surgit, les regards brillants et soutien sublime Hyper-créatif même les manche-di, écriture comme le pote Jey-R, je taquine le Mic - chorus "L'arme à l'oeil..." Cuisine et graphisme, je suis l’actualité : entre hold-up et chloroquine Vérité mensonge en dualité, je veux respirer la chlorophylle Et me démasquer, authentique, sans filtre Des heures déblatérer, en terrasse me désaltérer Que ce temps se désagrège, fondre comme la neige J'ai allumé la mèche, lyriciste sans être agrégé Mes salutations sincères, veuillez agréer De mots à maux de bouche à oreilles x3 De Mots à maux...

Les mots proposés : genou - illusoire - bigaré - fragile - incertitudes - chloroquine - dragon - beauvais - déception - Alex Taff - BPJEPS - oligarchie - avalanche-couette.

J’ai offert la vie de rêve avec ce que j avais de plus pur supputé le souffre et depuis refermé les points de sutures De l’amour en sincérité rassure avec en preuve des actes consolidés Aller au bout du bout, esseulé sans solidarité un réel engagement mi sous scellés à ce jour mis aux oubliettes de quoi me déboussoler, je remarche droit sans boiter, les souvenirs restent, à l’abri d’une mélodie mélancolique pianoté dans le sac à dos et les pompes, colporteurs de cailloux, que j’ai réduit en graviers gravé écrit sur le papier, posé sur son de violon ou de clavier, tout est dit dans le titre ancien quartier te restera le souvenir de mon doigté en fin d’compte les hormones feront faire le méa culpa, j’ai réglé mes comptes, avec phéromones, Lucille de Négan sous le bras, retour à la création en soupapes, et sas de décompression, coeur souffrant carence embolie, carambolage, moi qui me pensais intouchable j’ai remit les points sur les i, les barres sur les regrets, sans être lunatique la peine est effacé, la paix interne au fil du temps s’imprègne s’glisse sous l’imperméable j’ai eu un moment d’absence comme un aliéné, en lobotomie 7 vies je retombe sur mes pattes, j’ai retissé ma toile d’araignée mise en lambeaux les tho-my, résurrection thérapeutique et autopsie d’une vie mis au passif une vie de famille des gosses et un bouledogue je vise des liens sacrés au risque et péril de ma vie comme un black block des sentiments et de l’harmonie et que personne ne faiblisse depuis l’art se crée, en scred, en scud, que dis-je ? a bord d’un album en cours, envie d’écouter sur platine vinyl et cassette dans le walkman, infos exclusives tenez vous prêt aux fonds participatifs d’un cheminement et passion d’une vie retraçons ce texte ensemble sur une note positive, exposé et plausible sur tes enceintes vendu en grand, pas sous le manteau comme à l’époque de la motown j’en rêvais gosse, dans les loges, dans les vestiaires alors que je n’avais pas un poil sous le menton 2021 j’arrive, peu importe si il reste des traces du covid êtes vous prêt à vous bousiller la nuque sur du Boom Bap ou son électronique mise à prix, je me fais plaisir et partagerai, en live mes lyrics aucun risque comme les oenuques avec mes Brok, pas de bande d’arrêt d’urgence insurrection en premier chapitre, maquetté en soum-soum en petit comité et basse fréquence complice de ma résilience rétrospectives cré-actives, c’est moi Loïc je relance j’active depuis ACC et ses premiers titres écrits dans les nineties saperlipopette mordu de Hip Hop activiste depuis bientôt 30 piges

libre et autodidacte prépare mon épitaphe sous les flammes d’un autodafé sans soumission comme un automate pratique d’un rap orthodoxe avec des blases mal orthographié chaque mots sonne le glas, chaque syllabes est un pavé dans la marre tourne autour les vautours et les carnassiers ma plume se plante et te plombe d’un canon scier une croix de plus dans un cimetière, ou une croix à faire sur le calendrier qu’est-ce que tu préfère ? dans mon art je répand ma vérité, coopération et entraide, tu peux vérifié, sans traites, sans elfes, ensemble s’émerveillent la douceur brutal glisse sur le papier à les écouter ils sont tous des criminels, joue les voyous, ne sont que des voyelles il préparent des dingueries, un vrai bandit, ne raconte pas sa vie, même pour le style ils font les oufs, les thugs, l’ère hostile ils sont doux, des ours Cajoline sans kalash, et sans roquettes les seules choses qu’il ont tuer en vrai est un chicken buckets je reste crédible, verbal sont mes missiles, sans char d’assault à l’approche d’un renouveau, rendez-vous dimanche pro pour le prochain MMBO

libre et autodidacte prépare mon épitaphe sous les flammes d’un autodafé sans soumission comme un automate pratique d’un rap orthodoxe avec des blases mal orthographié chaque mots sonne le glas, chaque syllabes est un pavé dans la marre tourne autour les vautours et les carnassiers ma plume se plante et te plombe d’un canon scier une croix de plus dans un cimetière, ou une croix à faire sur le calendrier qu’est-ce que tu préfère ? dans mon art je répand ma vérité, coopération et entraide, tu peux vérifié, sans traites, sans elfes, ensemble s’émerveillent la douceur brutal glisse sur le papier à les écouter ils sont tous des criminels, joue les voyous, ne sont que des voyelles il préparent des dingueries, un vrai bandit, ne raconte pas sa vie, même pour le style ils font les oufs, les thugs, l’ère hostile ils sont doux, des ours Cajoline sans kalash, et sans roquettes les seules choses qu’il ont tuer en vrai est un chicken buckets je reste crédible, verbal sont mes missiles, sans char d’assault à l’approche d’un renouveau, rendez-vous dimanche pro pour le prochain MMBO

barbu Boule à Z, Moral à zéro, part buffle, protege mon coeur ramasse mes psaumes, à la petite cuillère, reviens à la raison en guérison tête hors de l’eau comme Asclépio, déplace mes pions Solem alchimiste au micro, avec les mots, tête haute j’amasse les jetons, en scred, tel un as clepto l’avenir appartiens à ceux qui ce couche tard, ou jamais et s’lèvent tôt même Fly sous Amnésia, on s’tiens debout demande à Rachid les bitures en folie un instant on s’extirpe, prend le mal à la racine sans faire d’Arachi butyro phobie explore et dévore la vie comme un mafé sauce Dakatine, ou d’une salade Bo-Boune dans le Bento en kimono l’estomac maitrise son art armé d’un sabre comme le maître Musashi Miyamoto putain c’est chaud, Round 8 MMBO vous avez charger la mule, c’est de trop est-ce le dimanche de trop ? tinette sans émeute, sa émule de trop, en plaçant vos mots, hors normes enflamme bientôt le micro, Brok Show Coming Soon sur On Air Radio Boulimiques de taf, par passion, étudie s’développe, atteint ses buts avec patience m’étire,rugit, rie jaune, l’érudit, surgit, rougissent, les lignes comme des rubis je m’érige comme une pédoncule avant le pet au casque mise aux verts, remise à plat, planche à pain, à la Sophie Pétoncule je ne renonce plus, à mes rêves n’observe plus le rétroviseur c’est marche ou crève l’écran, dans le viseur l’espoir visé, devoir de mémoire ou d’émouvoir, c’est strangeuuh glorifie, harmonie, collectif et famille et non l’pouvoir, insurgés même si Macron s’fache je fais ce que j’ai à faire, pour être en paix dans le sarcophages, vainqueur loin des manigances et leurs sortilèges suit ma ligne de conduite, même sans permis, aquaplaning familial, produit en masse, comme les macrophages, ne me test pas trop, libre électron sans patron essaye de manuculé, un viking Barbarian, tu finira décapité balancer vulgairement, dans un charnier au fin fond de la Norvège, finira sur la corde raide, sans corps de rêve même les plus gros et lourd finirons en corps maigre. oubliées sans cortège, la mort en dernier sanctuaire joyeuses fêtes à tous, amertume solitaire accentué en cet ère de défaites de fin d’année.

Sous la pleine lune, mes étoiles d’iris ne brilles plus J’ai éteint mes guirlandes lumineuses et mon peacemaker Sans vouloir rentrer en guerre, en scred dans la tempête Trouver ma paix intérieur, j’m’évade comme une Educatrice en mer, voyage au bord des vagues et des galets au delà des galères, Être Indulgent et loyal, ne m’as pas épargner de là noyades l’écriture m’aère, j’respire et espère, une année meilleure Passé Démolie et reconstruire un destin sans peine a l’aube de devenir quarantenaire, Un souhait, sortir en vie de leur quarantaine Mugueter celle sans faire, le beaux parleurs, je reste sincères Parler, sourire complice, rire plaisir partagées et luxure sans parenthèses Cœurs enflammées par un falarique, à la malice de deux corps liées Du love en fusion débordant de la barrique, froissée l’envie sans écorné que cupidon est sans arc, tension, avec une sangle au cou Je n’es qu’une vie je la vie à fond comme je peux à la San Goku

MMBO Round 10 Aujourd’hui on Chill, tranquille sans s’habiller, observe de loin leurs balivernes, sans babiller le temps c’est arrêter, le cupide et cupidique, ici n’as pied nuit blanche, lunette noire, extravagance, nuit de folie, garantie cet harmonie je t’emmène dans l’ambiance, vas y agrippe-toi des tours de magies, ancestral d’un grimoire vas y cri voir: wooooo !! arrosé de rhum, vin blanc ou de champagne avec parcimonie, poche vide, le bonne état d’esprit, même sans monny lâcher prise, les deux doigts dans la crise inspire, transpire, kif la vie, ne soyons pas insipide, sans mensonges, sur la Ride vibre, pour ce moment récréatif

Bison futé au Capitole, en opposition ça chiquote, Coulrophobe sous le chapiteau, les merdias picorent Quelques voix politico, rafale de Desert Igo, Bang ! Bang ! Prise de conscience, ou prise d’Aïkido Prise mondiale d’otage illico, L’U.S. à la bombe, prise d’embargo Crise d’Impetigo, disparition fuite par prise d’hélico. Pas d’honneur sur l’emblème « travail, patrie, famille » devise de Vichy, Chrysanthèmes Divisible, pour mieux saigner, les civils Le roi est borgne, les poches pleines. (chorus) poches pleines Peuple état visible, pour mieux régner On kidnappent et plie l’antenne, grésille Faire partie des invisibles, indivisibles, invincibles Qu’on dilapide de liberté, (Edb chorus) liberté Si perplexe, libertaire , cyber ère, Si l’précepte, diviseur, cyber guerre Unifier, en tandem, l’Hydre de Lerne Solem la face cachée de l’Heisenberg (Edb chorus) Heisenberg Envoûtement, funambule sur le fil, c’est l’bad trip, Jean casse-tête en phoenix, rend pénible la vie Se vie véloce et se vise, la roue tourne sans Vélib’ (chorus) oooppp On n’rembobine pas la cassette au feeling, S’embrume l’esprit d’un Blunt Pheelies Autour d’un digeo, exotique mental indigo Exerce le style, révise mes rimes, prend un dico Trouve des mots, chaque dimanche, ma routine M.M.B.O, Je m’exprime, je vais vite, kick au micro (Edb chorus) Kick au micro Accumule les brouettes de maux Fusent les idées, sans futilité, Sans lésiner en toute utilité, Sans se résigner en toute humilité De mots à maux de bouche à oreilles x 2 Mots à maux, bouche à oreilles x 4 Round 11

J’étais prêt en toute sincérité Noyé dans tes yeux, Suis moi je te fuis Vécu à deux l’unique, si rare comme un solstice J’ai connu les abysses et le soleil de si près Qu’on s’y es brûlés les ailes hors sentier les sentiments si frêles Cruciverbiste, j’ai mêler les mots, Mis l’amour à mal, méli mélo de remords que nos âmes s’immolent sous des boréales aurores Perdu à vie, par fierté, à priori Le cœur a ses rebonds que l’esprit rejette L’amertume, qu’un mafiosi... Recèle Le temps fait son temps, intensément et décède à l’abri des cris de hyènes Ma mise à l’ombre brillait, sous ciel gris et pluie diluvienne éloigner de leurs iris et de leurs sobriquets Au bord d’un bateau l’amer vacillait Nos reflets fascinaient, sans se voiler, la face Voir un enfant y naître, enflammer d’un silex, s’efface La face si nette, roues voilées La haine, l’amour et la mort sont si liés Dans un flou aveugle, sans sourciller Face aux sourdes oreilles, Je braille, d’une manière honorable La main sur le cœur, entêté à fleur de peau Le cœur sur la main à la sueur de paume Prêt à te la mettre, ressuscite les psaumes Cœur de pierre se transforme en fardeau L'histoire d’une vie, au fil de mon flow

Je ne suis ni d’or et de platines Brokanterz : Disque de bitume Vie d’Brindille fragile Avance d incertitudes Construit ma vie d adultes Pas à pas dans l'exigu Humeur taciturne ... Jusqu’au seuil de l'exclu Du sommet à l'impasse J'exulte par l'écriture Prend sur moi, Au loin retenti les excuses Pas d existence exemplaire Saisi ma chance pour le tur-fu Suis-je exempté du bonheur ? À l'état pur Questionnement sans réponses, mises à nue à l'état brut Destin et délivrance sculptent, se modèle, comme un bonhomme de neige Un Passé au placard, devenu obsolète Mise à l'abris et d’autres sornettes Viser la lune ou d'autres sommets Je m'en fiche, je reste terre à terre Proche de mes valeurs Force de caractère Je relève d'ardeur Prestement je déblatère Paroles libres non prohibé Politi-Condriaque, le cerveau armé Sarcastique, utopiste, je gribouille Je complote pour la paix L'acharnement d'un chenapan Forces sur humaines, galactique Aux épicentres de l'humanité Reste rigide comme une stalagmite J'ai apprit as mes dépend, Diantre, sacre bleue Un sacré foutoir, entre deux Sans fioritures, MMBO Acte 2 Round 13 MMBO, je pèse chacun de vos mots L'inspi est complice, c'est pas de la foutaise Créatif, un dimanche entre parenthèses

Faire son anniv à amsterdam c’est naviguer en eaux troubles Des projets en silence , Solem sur le sillon fait du rap orthodoxes on vie nos vies fait avec nos blessures c’est le mekhtoub identitaire les mecs troubles, rimes facile, à l’aise en pantoufles comme Kery je me balade en slip, dans le hip hop comme à la maison je reste humain entier et sensible, sans vouloir avoir toujours raison en guerre contre moi même et sans filtre mes premières leçon sont mes défaites, apprendre et voguer, chaque titre est liée à la guérison vivre chaque rassemblement comme une fête, est une raison on se la fait à la cool, on déboule, on déboule, on déboule, on déboule on se la fait à la cool, on déroule, on déroule, on déroule, on déroule loyauté obligatoire, tergiverser longuement fait le tour du giratoire de sa propre life pour retrouve son chemin on se débrouille, on s débrouille… respirer chaque seconde voir mieux que demain univers insalubre, dans le quel on as grandit un salut ! de l’ame qui s’emmêle à travers la mouise sous les semelles finir le mois la fin de semaine, réfléchir, agir, comprendre sans donner du Fricatel, tu comprendra si t’a la réf si comme moi t’as connu la hass, pâtes, frites ou fricadelle, une trempette, un seul des parents exemplaire, lits superposée à plusieurs on faisait avec, Un pour 10 , un pour tous dans un F4 chacun son steak, vie de prolo, on faisait avec à tout ceux qui néglige nos compétences et me disent que je ne suis bon qu’a péra… sur une prod swingue mon acapella faire du lien , tisser des toiles est un de mes rôles avec une vie pas si drôles, vie la et survole là en drone on se déchire par mille pour atteindre le quart du trône attends, attends, on se délivre sans faire larmoyer attends, attends, on se livre sans se faire noyer qu’est-ce que tu croyais ? qu’on allais s’apitoyer la tête haute, des valeurs garantie sans être en geole sans amertume, on fait grandir nos vies, à travers nos vices orchidoclaste… en devise, sans devis , sans dévier on marche de travers sous le soleil et les averses combat l’adversité on tue l’ennuie a se diversifier, sois en si fière, cherche à te révéler, la vie est si brèves

On s'émancipe de leur emprise Brise la vitre, réalise nos rêves Évasion oblige sans plages et camping Vis nos envies sans trèves Dans cette grisaille qu’on dévisage de travers Un week end moral à Z, dans cette hiver On se diversifie comme X-Men Hifi S’empare du mic ! Caresse la plume L’age d’or s'intensifie Dehors la brume Déménagement mental, ans larmes ici Nos pages blanchâtres, capture nos esprits Tuer le temps, s'assassine le positif Transporter nos douleurs sans fissurer nos âmes A l’arme blanche, grâce a l’art étanche... Nos soifs de "Vengeance!!!" Tenter les compromis essayer de s'entendre S en tordre... Amorcer l’avenir Sans mordre la ligne blanche Mémoire intacte absorbée par les coups-bas Laisse choir l'impact et les coupables Relève la tête le temps passe... Les souvenirs reste... Regarde en face Malgré ses moments troubles ...Je me surpasse Réchauffe mes sueurs froides (x2)

MMBO ROUND 16 Légendaire sous l’étendard Brokanterz double bannière Éloigner des standards Du hip hop de quarantenaire Des phrases fortes Du sens et du vocabulaire Du savoir qu’on exporte Traverse le temps Indulgence crée mes amorces Sans obsolescence Te laisse amorphe Mon art effervescent Agite et reflète les sens Amène à la quintessence Existence, résilience Persistance, résistance Au péril de mes confidences Loin des conflits de gosses Fidèle au poste Rugit comme un lion dans la brousse Humaniste universaliste Tchatche des dialectes de pashtoun Je suis l’babtou qui est né les 2 pieds dans le mazout Qui fera tout pour… s’en sortir… Les pages s’tournent… sans déroger aux valeurs Cordon ombilicale couper au katana Mental de viet kong ou de bagnard Tout feu tout flamme au mic

Pour eux, nous étions des galériens, On ne valait rien , et on ne savait rien, Mais on s’en bat les reins ! Inconnu sortie du terrier, Terrien extra-terrestre, extra-terrible Terrien atterri, a tes risques et périls I shot a shérif, on atteint le zénith, Renaît le phoenix, renaît de ses cendres Renaissance dans l’A.D.N, ne se sert pas de l’A.B.S, Pas besoin de l’A.P.L, pas assis dans la B.M, pas de Bentley Pas à pas, évite l’A.V.C et vie sans A.V.S Aviser, je discerne, je disserte Même si tu nous dédé-déteste !!! on te fait mal à la têtêtê-tête !!! On as grandi dans la tétété-tess !!! On reste dédé-déter dédé-déter !!! On s’emmêle dans la mêlé, comme au rugby Tempérament chevaleresque en lubie … Cœur de pierre sur le chevalet, on turbine Charbonner comme à l’usine, Trou l’ozone, protège nos conforts En double détente, apéro sucré et des mangues Barbecue et crêpes, pour éviter la démence, Avec mes gens, les idées reçues démontent Des tentations, tente ta chance Procrastiné, ensoleillé, jour de printemps en hiver, En attente d’un nouveau souffle, Le vent de l’été… x3 (chorus)

Un autre monde en coulisse, est accessible je ne ferme pas les yeux sur ce qui ce passe je m’éloigne de leur autoritarisme, en autocratie forme ma meute en autarcie bombarde de mauvais présage et de leurs charivari imprégner du délétère et de la mélancolie spleen, stress, triste mélodie quelques notes, une voix, les émotions maitrise comme un poto guitariste, par les cordes, l’hédonisme as été mise en sourdine au combat reste solide, insoluble, formons le bloc à en faire notre devises tout est à reconstruire Déjà 1 an pile, que le mal encercle nos vies, qu’on avance tête pensive, le ventre vide docile aux services, ils sévices sur nos vies que nos morales s’brise, malgré leur but …reste sensible, en tête a tête pas faible d’esprit recharge d’adénaline et d’amour expansible, apaiser, sérénité extensible…au delà de leurs sévérités, j’reste aux plus proches de l’horizons, et de mes vérités sans désorienté, que nos voix raisonnent la raison de nos coeurs frappera le glas, ou le glaive de la révolution, des glaires en postillons un homme et des mots du mal et un microphone

J’ai l'âme maussade, comme le temps J'ai besoin d un message cardiaque D’un retour de pulsion, et de battements Refaire surface, d’étapes monstres Un vrai revenant, un ectoplasme En dent de scie, sans dentelle La vie est folle, instable, et si ingrate Pas de dessin, inutile sont les détails la tête sous les étoiles, les yeux dans le vide Elle détale si vite, faites des sueurs froides, innondé ... j profite Submerger d émotion et de ciprine, Ici c’est kif kif, big gifle, kill kill, y’as pas de big deal Un désir de combattre durement Relever les manches aller au contact, assurément En éraillant les rieurs Un rayonnement sans rayures a te Faire dérailler ... et vouloir voir ailleurs Y as mieux ? y as pire ! Livraison de câlin dans les gencives, depuis tout petit sous les coup de fusils, Explicite lyrics ... (dans les enzymes) sur un son classik de greenfich c’est sans surprises ... ici la censure prime Ne montrerons pas les frères et les sœurs dans le Din préfère ceux dans le deal, (et autres trafic) et ceux avec qui le diable s’dandine Laisse moi rire le futur, c’était en 2000 on est en 2021 Le grand écran, nivelle vers la loose des giboulées de marwaLoud tv réalité …des carna d’clown à rendre tout l’monde marvelous Omar ceci, Omar m’as tuer, Omar waillou Mon alliance ethnik est réciproque même si ma vibe a Le blues, paradoxe, il nous accable par l’intox, saturation, sa tue la chance sa tue l’action, c’est la faute à pas d’chance faisons actes de passion et d’persévérances au lieu de s’bercer d’errance, tu dois percer et fonce beaucoup s’agglutine, pour avoir la première place et le bling bling, je me contente de la médaille de bronze car la sagesse est d’or

Solem au microphone sur une prod stratosphérique J’étrangle à la Musclor et à la Kratos terrible Ne fait pas l’aumône, en freestyle à des choses à dires, J’m’exprime la seule chose de libre, Pas de bling bling et d’fausses camelote Sortie d’un dimanche cocooning Incise les litiges, incise les lignes et les notes Avec des périphrastiques leur politique est cataclysmique À l’arraché vite sur le Beat t’assiste à une embolie Asystolie peuple asphyxié mise en sourdine En toutes sincérité, réhabilite, La perméabilité, le cran les incisives, L’incivile de ma jeunesse, j’rembobine Fight Spirit en état d’esprit, reste tenace Menace 2 society x4 (chorus)

on as le style hardcore, comme la vie qu’on mène s’donne âme et corps, entier sans problème on ne compte pas quand on aime, rayonne le soleil il n’y qu’un mauvais pas, de la douceur à la haine aussi sombre, qu’un coucher, de lune, reflétant la noirceur, sur le bitume à l’encre de mes burnes / chorus : j’écrit a croire que le bonheur est cyclique que la vie est traquer, par une cystite nos chances de réussite paraissent si petite, pourtant on construit, bien loin de leurs apparences trompeuses un mal pour un bien et autres discours pompeux réaliste, pas négatif, éclaircie, sans préjugés loquace, je résiste avec sagacité chaque dimanche, je rebondis pas avare d’idée place les maux, sans algorhytme liste dilapidé sur la symphonie la poisse me poursuit, la vie en dent de scie l’avenir sur les gencives, écartèle les âmes sensibles, mon verbe est acidulé ne reste pas placide écoute les zombies hurler taciturne et burlesques la verve assidu acide et mortel, comme la cigüe

on a de drôles de manies on a de drôles de manières de s’unir en se plaignant contre l’oppression on ce détruit à s’haïr c’est hallucinant l’espèce humaine est complexe et fascinante facilement destabiliser on tue le temps à courir après les pendules à l’heure en recherche d’argent les pendus sur un tendeur sont en avancent l’étendu est flippante des récalcitrants les dégâts la prohibition étincellante le nécessaire, que l’avenir est un sens volontairement, ma verve est insolente ma plume est emblème de clairvoyance j’entame sans thème avec un fond guerroyant j’guillotine, je m’immunise contre les crapuleries et je ne cautionne pas leurs génocides REFRAIN : x2 JOUR G JOUR J Premier heurts premier cri JOUR G JOUR J Premier heurts premier cri